En fait, les descriptions de ce qui était peint sur ce paravent étaient des plus variées. De la destruction de Sodome et Gomorrhe, en passant par le naufrage du
Titanic, jusqu'au dernier séisme de 1933 au Japon qui fit plus de trois mille morts ; presque toutes les catastrophes pouvaient être représentées. Un professeur de dessin, au lycée Rollin,
trancha en précisant que c'était de l'art abstrait : cela ne représente rien, mais doit apporter une certaine émotion à celui qui le regarde. Et là, il y avait une très forte émotion qui se
dégageait.
Couverture réalisée d'après cette aquarelle
(de 1993)